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15/08/2009

Naissance du Projet

"Pour que la vieillesse ne soit pas une dérisoire parodie

de notre existence antérieure,

il n'y a qu'une solution, c'est de continuer à poursuivre des fins

qui donnent un sens à notre vie".

 

Simone de Beauvoir  

La Vieillesse, 1970

 

La Maison des Babayagas est née d’une idée longuement mûrie par Thérèse Clerc...


Ayant accompagné ses vieux parents au terme de leur vie, alors qu’elle travaillait encore et que ses propres enfants la sollicitaient, elle avait pu mesurer combien le quotidien deviendrait source de complications, de tensions, d’angoisse même lorsque, l’âge avançant, sa vie très bien assumée de femme seule risquait de basculer dans la solitude et de peser sur ses proches.

Thérèse avait, un certain jour de 1999, pris sa plume, lancé son appel et dessiné les grandes lignes de la vie dans la future Maison des Babayagas.

Puis le temps avait passé, d’autres urgences l’avaient sollicitée.

 

Mais son appel a été entendu par Monique Bragard et Suzanne Gouëffic qui l’ont rejointe un jour de l’hiver 2001.

Petit à petit, au fil des ans, une quinzaine de femmes les ont suivies, convaincues que ce projet répondait à leurs pressantes interrogations, à leurs propres aspirations.

Car, comme le proclame l’association « Vivre c’est Vieillir », “ Vivre plus longtemps peut être une chance, à condition de se sentir acteur de ses choix de vie et citoyen dans la société.”


 

Ou comme Thérèse l’affirme sans cesse :

“ Vivre vieux, c’est bien ; mais vieillir bien, c’est mieux ! ”

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